Developpement du point de vue historique de l’un des sujets proposés à l’aide de documentation et ressources pertinentes.
Le document doit présenter les caractéristiques suivantes:
ATTENTION ! Les travaux ne remplissant pas ces conditions seront directement exclus, ne seront pas évalués et ne seront pas pris en compte lors de la sélection des participants.
Texte littéraire de genre libre: nouvelle, fable, pièce de théatre, essaye, poème… portant sur l’un des sujets proposés.
Le document doit présenter les caractéristiques suivantes:
ATTENTION ! Les travaux ne remplissant pas ces conditions seront directement exclus, ne seront pas évalués et ne seront pas pris en compte lors de la sélection des participants.
Projet audiovisual de fiction, documentale ou expérimentale portant sur l’un des sujets proposés.
Si vous choisissez de faire un projet audiovisuel, vous devrez nous envoyer deux documents présentant les caractéristiques suivantes :
ATTENTION ! Les travaux ne remplissant pas ces conditions seront directement exclus, ne seront pas évalués et ne seront pas pris en compte lors de la sélection des participants.
Composition d’une œuvre originale inspirée dans l’un des sujets proposés.
* Les reprises seront acceptées même si la valeur musicale des compositions originales sera davantage valorisée.:
Si vous choisissez un projet musical, vous devrez nous envoyer deux documents présentant les caractéristiques suivantes :
* Les reprises seront acceptées même
si la valeur musicale des compositions
originales sera davantage valorisée.
ATTENTION ! Les travaux ne remplissant pas ces conditions seront directement exclus, ne seront pas évalués et ne seront pas pris en compte lors de la sélection des participants.
Exprimez le sujet que vous avez choisi dans une oeuvre d’art avec la technique que vous préferez (dessin, peinture, collage, sculpture, photographie, performance….).
Rappelez!
Les œuvres originales devront arriver (par courrier ou en main propre) avant le 8 mars à l’adresse suivante :
EuskarAbentura Elkartea
GetxoGaso, Errotatxu Industrialdea
Sans nombre, CP 48993 Getxo (Bizkaia)
Déposer au comptoir de la station-service
*On ne rendra pas les projets de candidature.
Si vous choisissez le projet d’ars plastiques, vous devrez nous envoyer trois éléments, dont l’un physiquement (vous pouvez l’apporter au bureau ou l’envoyer par courrier) et les deux autres en utilisant le formulaire d’inscription. Les documents et l’œuvre originale doivent présenter les caractéristiques suivantes :
Les projets qui dépassent les
dimensions indiquées seront
directement rejetés.
ATTENTION ! Les travaux ne remplissant pas ces conditions seront directement exclus, ne seront pas évalués et ne seront pas pris en compte lors de la sélection des participants.
Développez une application, un site Internet, un jeu vidéo ou une autre création de caractère numérique sur le thème que vous avez choisi. Envoyez une brève note explicative sur le développement du projet, y compris la façon de voir le travail et le lien vers le projet. Si c’est possible, envoyez les fichiers dans un fichier compressé.
ATTENTION ! Les travaux ne remplissant pas ces conditions seront directement exclus, ne seront pas évalués et ne seront pas pris en compte lors de la sélection des participants.
L’euskara batua, crée en 1968 par Euskaltzaindia, a plus ou moins toujous été un sujet de controverse. L’euskara étant une langue très riche et variée, elle était parlée, prononcée et écrite de manière différente dans chaque région et manquait d’un modèle de langue standard qui permetterait sa normalisation (dans les institutions, dans l’éducation, dans les médias…). Pourtant, certains craignaient que cette unification ou standardisation de l’euskara n’affecte la préservation des dialectes. Au contraire, le batua basque est aujourd’hui largement utilisé et on peut dire que les dialectes ont été préservés.
Croyez-vous qu’on continue à voir le batua comme une langue artificielle ? Pensez-vous que le batua a contribué à la perte progressive des dialectes de l’euskara ? Diriez-vous que les dialectes ont plus ou moins de prestige que le batua ? Sont-ils antagonistes ou complémentaires ?
D’autre part, diriez-vous que le batua garantit la normalisation de l’euskara ? Dans quelle mesure sa présence est-elle utile ou importante aux personnes bascophones ? Quel serait-il du système éducatif, par exemple, sans le batua ?
À toutes les époques de l’histoire, l’être humain a toujous imaginé un futur idéal. Pour cela, il faut d’abord observer et analyser la réalité dans laquelle on vit : on doit identifier ce qui nous plaît, ce que l’on veut changer et ce que l’on veut éradiquer afin de pouvoir décider quelles sont les choses que l’on veut maintenir, celles que l’on veut modifier ou s’il est nécessaire d’en éliminer quelques unes.
À l’heure actuelle, imaginer un avenir utopique nous semble une tâche difficile, surtout au vu des crises climatiques, des crises économiques, des guerres internationales… Pourtant, c’est le moment parfait pour essayer d’être idéaliste, d’imaginer le monde de nos rêves et de réfléchir aux moyens de le réaliser. Ce n’est pas la peine d’être réaliste, pensons à une société et à un monde parfaits, même s’ils semblent impossibles !
Comment imaginez-vous l’avenir ? Qu’est-ce qui est bien dans notre monde et qu’est-ce qu’il faut changer ? Que devons-nous faire pour créer un monde parfait ?
Le sport est un moyen de socialisation, il nous apprend à vivre ensemble et à canaliser nos émotions, il nous aide à renforcer notre identité, il est source de santé et c’est aussi un business.
Pendant des années, le monde du sport a été (et l’est toujours) à la fois le reflet et le réproducteur des inégalités sociales entre les hommes et les femmes. La présence, la participation et la représentation des femmes dans le monde du sport sont souvent restraints aux activités associés à la féminité. À présent, nous continuons toujours à faire la différence entre les sports « féminins » et « masculins » en fonction de leur rapport à la féminité et à la masculinité, c’est-à-dire, à des codes de genre reproduits par la société.
Lorsqu’il s’agit de choisir un sport à pratiquer, les clichés conditionnent le choix des femmes et des hommes, ce qui entraîne un manque d’égalité dans les différentes disciplines. Ainsi, les pratiques et attitudes discriminatoires et sexistes que l’on trouve dans le sport ne touchent pas que les femmes.
Selon vous, existe-t-il aujourd’hui dans le sport une parité entre les femmes et les hommes? Pensez-vous que les femmes font autant de sport que les hommes ? Est-ce une coïncidence ? Pensez-vous que le fait que l’activité physique soit un espace masculinisé est conséquence d’une société androcentrique ? Que pouvons-nous faire pour briser les stéréotypes sur le sport et le genre ?
Il y a-t-il un.e sportif.ve que vous admirez spécialement ? Connaissez-vous un.e sportif.ve qui ne correspond pas à ces rôles de genre ?